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Consultation séquentielle des textes intégraux

 Tome 
 Titre
 Page 
XII .
 
1796, À mon refuge sur le Leopoldberg près de Vienne, et se vend à Dresde chez les Frères Walther.
 
 

(Nous donnons les mots essentiels des titres des pièces en vers dont suivent les incipit, placés entre crochets)

 
  Titre (1)
 
Titre particulier

(3)

  Préface (5)-(6)
  Petit avis (6)
  Mes écarts (7)-21
 
J’ai beaucoup trop de vers [Oui, sans doute, mon  corps sera mangé des vers]
21
  Voici mes premiers vers [O vous, cœurs tendres et naïfs] 22-23
 
En voilà encore d’autres [Le premier qui montra le métier de médire]
23-24
  Écarts 24-40
  On parlait sentiment [Mes dames, sur notre hommage] 40-41
  Passion malheureuse [Je veux toute la journée] 41-43
  M. de Voltaire [Je sais que le hibou] 43-45
 
Mademoiselle de …me demanda des vers [Un oiseau dont la voix est rauque]
45-46
 
Le ministre de Prusse [Du plus grand des mortels, des soldats et des rois]
46
 
Le prince héréditaire alors [Un grand roi vous chanta, l’univers vous admire]
46
 
On me demanda tout de suite [Pour vous guérir, cœurs dures, cœurs insensibles]
47
  À Mademoiselle de … [J’ai promis une chansonnette] 47-48
  Écarts 48-64
  J’ai rêvé un jour [Sans avoir pu blesser ta gloire] 65-69
  Écarts 69-77
  Il y a une chanson d’ivrogne [Aussitôt que la lumière] 78-81
  Écarts 81-97
 
Imitation d’Anacréon [Qu’on se rende au plus tôt, me disait Cupidon]
97-99
  À un vieux général [Le prince Henri, cet homme habile] 99-100
 
  Pour le jour de sa fête [Chéri de toutes les femmes] 101
  Écarts 102-111
 
Dans le premier moment que je reçus le petit poème du cœur [Il est de par le monde un être singulier]
111-114
  Impromptu [Comment n’être pas attendrie] 115
 
Madame de … m’envoya une épée [Je ne puis m’en servir contre vos ennemis]
115
 
Apparemment que cette demoiselle s’appelait Sylvie [Une innocence à dix-neuf ans !]
116
 
Sans un petit chien qui nous avertit [De la fidélité le symbole et l’exemple]
117-118
  Écarts 118-130
 
Mesdames de… l’une mère, l’autre fille [Voilà trois beautés à la nage]
131-132
 
J’ai toujours eu dans la tête une religieuse [Charmante sœur que je ne connais pas]
132-134
  Mademoiselle de … chantait [Charmante fleur, quand Zémire vous chante] 134
 
Je venais d’écrire à M de Voltaire [Ma lettre vous peint aujourd’hui]
135-137
 
C’est une des suites d’un bal de l’opéra [À paris tout comme à Cythère]
137-139
  Écarts 139-159
 
C’est très vrai ce que l’on va voir [Bastien avait deux femmes dans la tête]
159-160
  En vérité, ceci est très historique [Du premier des pays du monde] 160-164
 
Mon fils Charles me trouva un jour [Quoique nous n’aimions pas le grave]
164
 
Je ne sais plus à quel propos [De valoir mieux que moi te sera très facile]
165
 
Messieurs les érotiques … [L’amour est si malin, l’autre jour il me dit]
165-166
 
Ceci n’est pas fade [Prenez grade à mon oiseau]
167-168
  Écarts 168-175
  Satire [Qui dit trop, ne dit rien] 176-181
  Écarts 181-194
  Je ne pouvais m’endormir [O nuit, ô temps favorable aux amours] 195-196
  Projet [Si j’enlève ce que j’aime] 196-197
  C’est une petite histoire [C’est à ce port, à ce séjour] 197-200
 
 
J’avais si froid [Les fous s’annoncent aux grelots]
201
 
Mademoiselle de … avait joué parfaitement dans L’amoureux de 15 ans [L’amoureux de quinze ans vous en vaut de tout âge]
202
  Écarts 203-215
 
On disait que je ne pouvais pas faire des vers sensibles [Je ne sais quel air prendre]
215-217
 
C’est un conte qui n’en est pas un [Bon jour, maître sifflet, lui dit un jour sa femme]
218
 
Comment fait-on des couplets après ceux de M. Moreau ? [Des mascarades le plaisir]
219
 
On m’a dit que ceci venait d’arriver à M. de Voltaire [Une odeur de divinité]
219-220
  C’est un impromptu à Madame de … [Un bon amour en nature] 220-221
  Je fis ce petit impromptu en réponse [Autrefois pour la gloire] 221
 
Écarts
221-240
  Au sujet de ce que dit un jour Mademoiselle de … [Ne pleurez pas, dira celle que j’aime] 240
 
Une conversation sur les couleurs [De ma maîtresse on porte la livrée]
241-242
 
À propos du bleu [Avec le bleu c’est la rose]
242-244
 
Comme je suis fort paresseux [Pour ma maîtresse ou la patrie]
244
  On critique avant de lire [Détracteurs du siècle présent] 244-250
 
Écarts
251-262
 
Adieux à l’Angleterre [Sans faire ses adieux, quitter ce beau pays]
263-268
 
Portrait d’une demoiselle de 16 ans et demi [Je vais dépeindre ma maîtresse]
268-269
 
Écarts
269-280
 
Un grand amphigouriste [Jaloux, mais sans le savoir, envieux sans bassesse]
281
 
On m’a demandé lequel des chansonniers j’aimais le plus [Vive Collé, vive celui]
281-283
 
Madame de … gagne beaucoup [Ce n’est point en héros survivant à moi-même]
283-286
  En veut-on de la philosophie ? [O puissant Créateur qu’annoncent tes ouvrages] 287-291
 
Écarts
291-306
 
 
Chantez vous autres [O la plus charmante figure]
307-308
 
Je l’avais bien dit [J’aimai sans être aimé. Traité comme un enfant]
309-310
 
C’est une chanson de soldats [À moi, grenadiers]
311-312
  C’est une plaisanterie [O vous, dont les grâces du Pinde] 313-314
  Ceci est sur un air allemand [Pour notre régiment] 314-315
 
Cœurs sensibles ! [Quand d’un quartier d’hiver amusant les loisirs]
316-317
  Cœurs insensibles ! [O mon cœur,  viens m’apprendre] 317-319
  À Elzear [Sabran, Chantre de Henri, d’Hannibal] 319
  Écarts 320-328
 
Vers de commande [Quand l’amitié, ce don si précieux]
328-329
  Ma conversion [Mon cœur fait pour la vertu] 330-331
 
C’est pendant la campagne de 1778 [À l’amour repris par la gloire]
331-333
 
Pour la fête de sainte Cécile [Les divinités des païens]
333-335
 
Sous une petite statue de l’amour [Je disais à l’amour : je brave ta puissance]
335
 
Sous celle du vieux Silène près de là [Je permets quelquefois, pensant à ma maîtresse]
335
 
Écarts
336-344
  Ces deux premiers levers [Image d’un dieu sur la terre] 344-345
 
Le lever du soleil [Avec moins bien de pompe et sans autre appareil]
345-347
  Le lever de ma maîtresse [Nature est sa dame d’atours] 348-349
 
Mon lever [D’abord que je sors de mon lit]
350
 
C’est sur l’air de la belle Aspasie [J’aimai d’abord la folâtre Aspasie]
350-352
 
Quand on me demande quel est le livre que je sauverais [Je ne sais si c’est l’air du Monomotapa]
352-353
 
Comment ose-t-on risquer une fable ? [J’entendis l’autre jour une forte querelle]
354-355
 
Madame de … me demanda des diavolini [De l’amitié je prends le ton]
355-356
  Voici l’autre fable [On ne saura jamais ce qui prit à Jupin] 356-359
  Écarts 359-368
   
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Updated : 20 August, 2006
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