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Consultation séquentielle des textes intégraux

 Tome 
 Titre
 Page 
XXXI .
 
1808, À mon refuge sur le Leopoldberg près de Vienne, et se vend à Dresde chez George Frédéric Walther.
 
  Titre (i)
  L’art de voyager (1)-44
  Réflexions sur les deux Condé (45)-54
  Écarts (55)-122
 
Poésies
(123)-220
 
Les délices de Vienne et de ses environs ou les quatre saisons
(125)-140
 
À la comtesse Nicolas Esterhazy [Ô vous l’honneur de mon pays]
140-142
 
On faisait une loterie de présents [C’est bien là ma devise, elle est vraie, elle est bête]
142-143
 
Son nom est dans mes vers [prince Beloselsky - Cher prince qui valez mieux que tous ces héros]
143
 
Air : Ô ma tendre musette [On ne peut vous surprendre]
144
 
Mal entendu, attrape, surprise et réponse à une allusion sur ma livrée [À qui donc pourrait-on, juste Dieu, se fier]
146
 
Billet du matin pour remettre un dîner [Tel est mon cas]
147
 
Fadeur dans une adresse [La douceur de notre vie]
148
 
Couplet chanté à la fin de la pièce de M. de Vautour par Mme Zulkoff [Je rougis de ces affaires]
148-149
 
Couplet par le jeune prince Bazile Dolgorucky, jouant M. Surenne dans la même pièce pour la fête de Mme Dimidoff [De vin j’ai ma marchandise]
149
 
Couplet chanté par moi qui jouais Diapazon [Tout le bien que l’on dit de vous]
150
 
 
C’est cette princesse qui donnait cette fête à Mme Dimidoff [Bagration -Allons c’est pour vous dire]
150-151
 
Encore par moi, Diapazon [Si harpe et luth étaient d’accord]
151
 
Couplet chanté par Charles Clary jouant un compositeur [Votre esprit, votre cœur d’accord]
151-152
 
Par notre petite Christine [On me croit intéressée]
152
 
Fragment d’une lettre au chevalier de Monpas [Ce fut, Monsieur ! ô moment délectable]
153-154
 
Pour cette fois-ci, je suis impartial [Encore si j’étais le cygne de Mantoue]
155-157
 
À l’un des plus grands maîtres de chapelle [Paer - Cher Païr sans pair, mais père du théâtre]
158-160
 
Couplets à la fin d’un spectacle donné à la comtesse Zamoiska, née princesse Czartoriska [On dit toujours à chaque fête]
160-162
 
Après ces pauvres couplets en voici un impromptu pour M. et Mme de Vargemont [À trompeur, trompeur et demi]
163
 
Au lieutenant-colonel Dettinger [Puisse ton Apollon ne pas touche Thémis]
164
 
Réponse à M. Ouvaroff [On a peut-être déjà dit]
165
 
Au même [Chantre d’amour et de mélancolie]
166-169
 
Au prince Belezelsky [Aimable calomniateur]
169-172
 
Vraisemblablement en donnant une montre [Chaque heure sans vous voir est siècle de tourment]
173
 
Impromptu à la suite d’un billet au comte Roger Damas [Ô toi le plus aimable chevalier]
173-174
 
Épitaphe épigrammatique [Marquis, chien du chevalier O’Hara - Pour nous faire pleurer n’ouvrez pas un tombeau]
174-176
 
On avait fait des vers pour la comtesse Rosalie [Rzewuska ? - Hélas ! Le pauvre moi, le plus pauvre de tous]
176-179
 
Parodie de fête pour l’inauguration de mon temple sauvage à Töplitz [Mme de…, princesse Dolgorouki, Charles de Clary et son épouse, comtesse de Buquoi, Catiche Dolgorouki - M. et Mme de Marsan - Réponse ; Vous ne pensez qu’à mon honneur]
179-186
 
Vers écrits sur mes tablettes pendant une chasse à Eisenberg [Plus belle que l’aurore étoile du matin]
187
 
À M. le comte de Lanius [Cher comte, je vous dois l’hommage des idées]
188-191
 
Pendant que Mme de *** chantait [Pour arrêter souvent un incendie]
191-192
 
Au comte Charles d’Harrach [Puisse un jour le Dieu d’Israël]
193-195
 
Énigme dont le mot est l’Entraînement [Je suis plus que l’amour, qui n’est qu’un feu follet]
195
 
Portrait et énigme dont le nom est la princesse [Je parais d’abord agréable]
196
 
On disait que la Suède allait faire la guerre à la Prusse [Frédérique et Louise de Solms - Presqu’autant qu’elle encore aime la gloire]
197
 
Elle aime à chanter [Pleurez mes yeux las ! Sens déjà l’absence]
198-199
 
À la même [Frédérique de Solms - Prends, oiseleur, prends-moi dans tes filets]
199
 
Impromptu sur des bouts rimés qu’elle m’a donnés [Quel bonheur de trouver la délicatesse]
200
 
 
Inscriptions à Carlsbad [Pour quelque ennuyeuse Héloïse]
201
 
Autre encore [Parmi tous ces esprits de pierres]
201-202
 
Une femme bien laide voulait se faire passer pour Polonaise [Ô vous que j’idolâtre, adorable – Thecla]
203
 
Je ne sais plus où je trouvai des vers détestables [À tant d’acteurs parfaits, auteur de la fumée]
204
 
Boutade, sortie, colère, impromptu de circonstance [Un père malheureux se plaint à vous en vers]
204
 
La princesse Gallizin avait fait des vers en faveur de sa campagne, qu’elle appelait Canton vilain [Mon louable canton, car il tient de la Suisse]
205-206
 
Au prince et à la princesse de Lobkowitz [Eisenberg, pardonnez mon antique hérésie]
207
 
Impromptu en bouts rimés donnés par M. Ouvaroff [J’avais pendu mon sabre au croc]
207-208
 
À Mme d’Eybenberg veuve du prince de Reuss Henri XIV [Je ne demande pas ce que l’on sert à table]
208
 
À Mme de Reck [Le beau nom d’Elisa retentit dans mon cœur]
209-211
 
À la comtesse Potocka née Mysczielska [La belle âme chérit les vers]
211-213
 
Sur le stammbuch de Mme Narischkin [Je n’ai point de jardin, je n’ai point de crayon]
213
 
Sur la feuille où il y a leurs portraits [Famille aimable réunie]
214
 
Qu’on devine si l’on peut [Mon premier est je crois un pronom possessif]
214
 
Sur un air charmant, à la princesse de Solms [Entre tous les moyens de plaire]
215
 
À Mme Krudner [Voulez-vous un portrait nouveau]
216-217
 
Au comte Alfred Potocki [Ô second grand Alfred qui l’emportez sur l’autre]
218-220
 
Réponse à une invitation le 1er avril [Non ce ne sera point de l’avril un poisson]
220
 
Table des matières
(i--iv)
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Updated : 14 December, 2006
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